ATTENTION AUX MODIFICATIONS DE TARIFS, DE DUREE ET D'HORAIRES D'OUVERTURE. 

Je vous propose une désensibilisation face aux émotions négatives associées à un traumatisme que vous avez vécu. C'est une méthode douce qui évite au patient de se replonger dans son traumatisme pendant la séance et lui évite de revivre sa souffrance.

Après l'identification du problème et des objectifs, s'installe une désensibilisation par l'utilisation de tapotements qui agissent au niveau des neurones et estompe jusqu'à faire disparaitre l'aspect traumatique de votre souvenir. Il faut en général 1 à 6 séances pour une désensibilisation totale et définitive.

Cette méthode se base sur le modèle de désensibilisation de l'EMDR. La méthode MOSAIC a été créée au CNRS de Marseille. 

Il a été démontré qu'un traumatisme est un réseau de neurones qui stocke le souvenir avec son émotion associée. Ce réseau est isolé du reste du cerveau car il ne communique plus avec les neurones alentours. De ce fait, toutes les informations enregistrées depuis dans le cerveau n'ont pas d'effet apaisant car les informations n'arrivent pas jusqu'au réseau traumatiques. 

La thérapie MOSAIC permet de sortir ce réseau de son isolement, en rétablissant la communication avec les neurones voisins et associe une sensation interne désirée, choisie par le patient avec ce souvenir. A la place de l'émotion et du ressenti négatif le patient ressent du détâchement et de l'apaisement. 

Les informations concernant le dispositif de remboursement sont accessibles sur https://monparcourspsy.sante.gouv.fr

La première séance de bilan dure 60 minutes au tarif de 40 euros.

Les séances suivantes d'accompagnement durent 30 minutes au tarif de 30 euros.

Une feuille de soin vous sera remise à chaque séance. Elle sera à envoyer à votre caisse d'assurance maladie pour être remboursé du montant de la séance. 

PAIEMENTS: 

- Les paiements s'effectuent à chaque séance. 

- Carte bancaire, espèces. Chèques non acceptés.

Bienveillance et empathie...

On m'a un jour raconté cette petite histoire qui est à mon sens un fil rouge de la thérapie.

Deux dames d'un certain âge sont indépendamment admises à l'hôpital. Chacune après un ultime geste de désespoir.

Mme M. venait d'apprendre le décès soudain de son fils.

La seconde, Mme B. à la suite de la mort de son animal de compagnie. 

Les équipes se pressent autour du psychologue de l'hôpital en criant à l'incohérence du geste de Mme B. qui souhaitait en finir "juste pour un chien", alors que Mme M. affrontait la disparition de son fils.

Le psychologue leur explique alors l'intensité individuelle de la douleur qu'on ressent face à la perte d'un être cher, quel qu'il soit. Ne jugez pas leur dit-il.  Quelle que soit la souffrance, elle est subjective, personne n'est en droit de juger de sa légitimité, mais chacun peut aider à l'accueillir et à la supporter par force d'écoute, d'empathie et de bienveillance...